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Catégorie: Politique
Auteur: vilistia (5:17 pm)
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Le DPI : le premier pas vers l’élevage des êtres humains vidéo fr |
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Catégorie: Politique
Auteur: vilistia (5:04 pm)
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Nikolay Starikov – Différence entre les civilisations Russe et Occidentale. vidéo fr et ukMettre en grand écran pour voir la traduction française..Mettre en français si nécessaire
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Catégorie: Politique
Auteur: vilistia (5:02 pm)
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L’Autriche veut sortir de l’UE fev 2016L’initiative pour la sortie de l’UE soumise au Parlement –le Parti autrichien de la liberté demande une consultation populaireInterview de Helmut Schramm, co-responsable de l’Initiative populaire pour la sortie de l’Autriche de l’Union européenneL’engagement de la population pour une Autriche indépendante et la résistance contre une UE toujours plus despotique prend de l’ampleur. Etant donné qu’en Autriche une initiative populaire même avec 261’056 signatures ne doit pas forcément être soumise au peuple, c’est au Conseil national de décider de la suite des opérations. En Suisse, les initiatives populaires présentées avec 100’000 signatures et les référendums (contre des lois adoptées par le Parlement) avec 50’000 signatures sont obligatoirement soumises au peuple. Dès la première audition au Conseil national une grande partie des conseillers nationaux firent la fine bouche. Les auteurs de l’initiative ont dû lutter pour chaque minute de temps de parole en faveur de leurs experts (Prof. Dr. Heinrich Wohlmeyer et Prof. Dr. Karl Albrecht Schachtschneider) dans une commission préparatoire. Le 27 janvier, lors du débat en plenum du Conseil national, le groupe parlementaire du FPÖ [Freiheitliche Partei Österreichs] déposa soudainement une demande pour une consultation populaire concernant la sortie de l’UE. Cela peut signifier un premier pas important pour la sortie de l’UE au niveau parlementaire, selon Inge Rauscher, responsable de l’Initiative populaire pour la sortie de l’UE, lors d’un communiqué de presse APA-OTS. A l’encontre des initiatives populaires, pour lesquelles il est, selon le droit autrichien, nécessaire de déposer sa signature publiquement avec adresse auprès des autorités communales ou municipales, il faut, pour une consultation populaire, une majorité pour ou contre (dans notre cas concernant la sortie de l’Autriche de l’UE) en déposant son bulletin de vote dans le secret des urnes. Même si les résultats d’une telle consultation populaire ne sont pas contraignants pour le gouvernement, aucun parti politique sérieux ne peut se permettre de les ignorer. Ont voté en faveur de la demande du FPÖ l’ensemble de son groupe parlementaire, celui du groupe «Team Stronach» (du nom de celui qui a récemment fondé ce nouveau parti) ainsi que les trois parlementaires indépendants, donc au total 47 parlementaires. Ont voté contre la majorité du SPÖ/ÖVP/Verts/NEOS. (Les députés qui s’étaient prononcés avant les élections et même lors des débats du 27 janvier en faveur de la démocratie directe se sont également opposés). La demande fut refusée, toutefois la question restera intéressante pour un futur gouvernement de coalition. Horizons et débats: Comment se présente pour vous la situation actuelle de l’Autriche au sein de l’UE? Helmut Schramm: En tant que fervent partisan d’une démocratie aussi directe que possible et du maintien de la neutralité de l’Autriche de 1955, je suis malheureux de constater la situation actuelle du pays. Les Autrichiens continuent de vivre dans une «particratie», dans une «démocratie de spectateurs» qui est bien éloignée du modèle suisse à succès. On en a une nouvelle preuve avec la manière dont le Parlement a traité l’Initiative pour la sortie de l’UE – loin d’un véritable débat démocratique –, avec l’envoi de soldats autrichiens dans des régions de guerre de l’OTAN, telles que le Mali et avec notre participation aux sanctions économiques de l’UE contre la Russie. Le chômage et les dettes publiques atteignent des sommets. Les salaires stagnent et nous ressentons tous massivement la perte du pouvoir d’achat depuis l’adhésion à l’UE. Ce semblant de démocratie apparaît au niveau de l’UE encore plus clairement: les députés autrichiens au Parlement européen n’ont guère d’influence ur la compétence législative de l’UE. Ce Parlement ne fait que renforcer la législation au sein de l’UE, mais n’a aucune compétence législative. Chaque Etat a certes un représentant dans la Commission, au Conseil et dans le Conseil européen – mais ces personnes n’ont qu’une légitimation indirecte et très éloignée des populations. C’est ce que précise dans ses expertises le professeur de droit Karl Albrecht Schachtschneider. Comment voyez-vous l’atmosphère dans la population autrichienne ? La migration de masse provoque au sein de la population un rejet encore plus fort de cette UE défaillante. Les accords de Schengen et de Dublin ne sont pas respectés. Les frontières ouvertes et la politique d’invitation face aux prétendus «réfugiés» causent de grands dommages. L’Etat social en souffre énormément et on assiste à un échange successif du peuple autrichien. Cette position négative face à l’UE aura des répercussions lors d’élections. Les partis continuant à chanter les louanges de l’UE, en prétendant que c’est une réussite et un projet de paix, devront craindre pour leurs voix électorales. C’est une chance pour l’Autriche. Quelles sont les options se présentant pour une sortie hors de l’UE? Le FPÖ apparaît dans tous les sondages comme le parti le plus fort et il pourrait, lors d’une participation gouvernementale, s’entendre avec ses partenaires pour donner à la population la possibilité de prendre part à une consultation populaire demandant la sortie hors de l’UE, à l’instar des Britanniques qui pourront le faire d’ici peu. Ainsi, les autres partis ne pourront plus s’y opposer! Mais de toute façon, il faut continuer à œuvrer à la base, sans tenir compte des partis, pour faire un maximum de travail explicatif et informatif au sein de la population. La liberté n’a jamais été un don du ciel! Merci bien pour cet entretien et nous vous souhaitons beaucoup de succès dans votre engagement. • L’Autriche et son adhésion à l’UELes Autrichiens n’ont jamais été heureux de leur participation à l’UE. En 1994, les Autrichiens votèrent pour leur entrée dans l’UE, cela après une intense campagne en faveur de cette adhésion. Selon certains calculs environ un milliard de Schilling furent dépensés dans cette campagne en faveur de l’adhésion. On engagea même une partie du clergé dans cette campagne. Six ans plus tard, en 2000, le pays prit conscience du style autoritaire de l’UE. Du fait que les Autrichiens avaient osé mettre en place un gouvernement ne convenant pas à l’UE – c’est-à-dire la coalition du FPÖ avec le parti bourgeois ÖVP – le pays fut pris en otage au nom des autres pays membres de l’UE et subit un boycott. Des extrémistes de gauche venus d’Allemagne et de France se retrouvèrent en Autriche, afin de dépister des gens de droite pour les boycotter. En toute arrogance, l’UE mit sur pied un «Conseil des sages» qui devait juger le pays. Evidemment, ces «sages» nommés par l’UE n’étaient pas «sages» et ne bénéficiaient d’aucune légitimation démocratique. Toutefois, le monde politique autrichien soumis à l’UE accepta ce fait. La population autrichienne n’aime pas manger des denrées alimentaires génétiquement manipulées, même si elles sont «autorisées» par Bruxelles. Les Autrichiens durent se battre pour défendre leurs droits contre les dirigeants bruxellois. A l’aide d’une initiative populaire massivement soutenue par la population, ils s’opposèrent vigoureusement à la culture illimitée d’organismes génétiquement modifiés (OGM), ce qui fit reculer la bureaucratie de l’UE, fortement soumise à la multinationale Monsanto. (Actuellement, l’UE cherche à introduire des produits alimentaires OGM par des voies détournées). La neutralité inscrite dans la Constitution a, elle aussi, de quoi souffrir. 25 des 28 Etats membres de l’UE sont largement dominés dans leur politique étrangère par l’OTAN, transformée en une organisation belliciste s’immisçant dans le monde entier. Notamment les «grands» pays se soumettent aux ordres venant de Washington sans aucune remise en question. Cela crée naturellement des pressions grandissantes sur l’Autriche pour la faire participer à des soi-disant «missions pacifiques» bellicistes. |
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Catégorie: Politique
Auteur: vilistia (5:01 pm)
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Les Etats-Unis préparent-ils une « révolution de couleur » en Russie? fev 2016Via l’ancien ambassadeur indien M K Bhadrakumar, nous apprenons que le gouvernement russe se prépare à affronter une tentative de « révolution colorée », lors des élections parlementaires en septembre : La réunion annuelle du Service fédéral de sécurité de Russie (FSB), l’organisation qui a succèdé au KGB soviétique, est une excellente occasion de prendre la température des relations « Est-Ouest ». (Le cliché de la guerre froide se révèle utile une fois de plus.) Le discours habituel du président Vladimir Poutine lors de la réunion du FSB, vendredi, à Moscou, a couronné cet événement. Il a fait une annonce sensationnelle , à savoir que le FSB était en possession d’informations précises selon lesquelles on élaborerait en Occident des plans pour provoquer de l’agitation politique en Russie, pendant la période qui précède les importantes élections législatives d’octobre. Poutine a évité d’utiliser l’expression « révolution de couleur », mais il y a fait implicitement référence. Les différents services américains et les néo-conservateurs du Département d’Etat aimeraient certainement fomenter des révoltes en Russie. Mais il y a très peu de chances qu’un putsch réussisse à Moscou. Il n’y a pas d’opposition efficace au gouvernement actuel, et quelques difficultés économiques n’inciteront pas les Russes à prendre l’état d’assaut. Ils auraient pendu Eltsine plus d’une fois, si c’était le cas. Ce serait beaucoup plus facile si Washington acceptait la Russie telle qu’elle est et lui faisait un peu de place sur l’échiquier politique international. Mais cela n’arrivera jamais, n’est-ce pas ? En fait, le scénario qui se dessine ici, en ce qui concerne les relations russo-américaines pour le reste de la présidence de Barack Obama, est plutôt sinistre. Le problème principal de la Russie actuellement, c’est que les États-Unis interfèrent dans sa politique interne en vue de créer des dissensions politiques qui affaibliraient le Kremlin, l’obligeant à adopter des politiques en harmonie avec les stratégies régionales et mondiales américaines. La victoire de Trump ou Sanders à la présidence des Etats-Unis pourrait se traduire par des relations plus amicales avec Moscou. Mais il y a beaucoup de monde dans les diverses bureaucraties, en particulier au Pentagone, dont les crédits dépendent d’une relation hostile avec la Russie (et la Chine). Il sera difficile de les réduire au silence. Cela augmente la difficulté de résoudre les crises en cours en Syrie et en Ukraine: Poutine a prévenu que Moscou écrasera dans l’œuf toute tentative américaine de susciter de l’agitation politique en Russie. On peut faire confiance à Poutine pour qu’il le fasse. Cependant, la grande question demeure : comment des conflits régionaux tels que la Syrie ou l’Ukraine pourraient-ils faire l’objet d’un traitement approprié quand les deux grandes puissances sont enfermées dans une lutte existentielle? Si les États-Unis essayaient vraiment de créer des troubles autour des élections à Moscou, nous pouvons nous attendre à une intensification des conflits dans les deux théâtres d’opérations d’Ukraine et de Syrie, au cours de l’été. Ne serait-ce que pour intensifier le message « Poutine est le Mal » que les médias « occidentaux » sont sommés de propager dans leurs populations. Traduction : Dominique Muselet http://www.moonofalabama.org/2016/02/ ... revolution-in-russia.html |
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Catégorie: Politique
Auteur: vilistia (3:45 pm)
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Abolition planifiée de la liberté d’opinion vidéo02 février 2016 Libertés ![]() Aucune personne bien informée ne peut contester le fait que notre monde se trouve dans une situation critique très dangereuse. Mais au lieu d’avouer ses erreurs et de les corriger, la caste politique nous présente ses « sales coups » comme un progrès. En cela, elle fait fi des principes qui résultent de décennies et de siècles d’expériences douloureuses. Par exemple en ce qui concerne la liberté d’expression, le principe d’auto¬détermination des peuples, la neutralité de l’Autriche ou bien l’interdiction fixée dans le droit international à tout Etat d’intervenir dans les affaires d’un autre Etat. Au vu de la situation critique et menaçante on nous dit aujourd’hui que ces principes ne peuvent pas être considérés de façon aussi absolue ; cela éveille notre attention. Des principes et des règlements ne sont valables que tant qu’ils servent aux objectifs des gouvernements et des tireurs de ficelles. Et maintenant une loi de l’UE assortie de décrets d’application incroyables devrait encore nous empêcher de nommer les « sales coups » par leur nom. Cette loi devrait nous être présentée comme « promotion de la tolérance » et « protection des minorités ». Mais quelle minorité devrait être protégée en réalité ? Faites-vous une idée par vous-même avec ce qui suit. De quoi s’agit-il concrètement ? Plus d’un an après avoir été débattue et fortement critiquée, la proposition de loi de l’UE sur la « promotion de la tolérance », est maintenant de nouveau discutée. Le Conseil européen pour la tolérance et la réconciliation a présenté un projet qui doit être adopté par le Parlement européen. Au nom de la tolérance il est planifié d’interpréter des opinions indésirables comme actes criminels et de les punir comme « crimes graves ». En même temps la proposition de loi prévoit de mettre en place dans tous les pays de l’UE une forme de « police de mentalité » étatique composée de deux instances officielles et chargée de l’application de la loi. Ces deux instances sont « l’unité d’administration spéciale » et « la commission de surveillance nationale de la tolérance ». Elles seraient chargées de surveiller la population et d’évaluer selon l’esprit de l’UE le caractère punissable des expressions d’opinions. Cette loi a pour but l’abolition de la liberté d’opinion. La protection des minorités est uniquement utilisée comme prétexte pour faire taire les personnes d’opinion différente. Bien entendu, doivent cesser avant tout les voix qui expriment la critique justifiée, qui montrent des dysfonctionnements et qui dévoilent l’injustice ! Ne manquez pas notre prochaine émission sur le sujet : « Rééducation de la jeune génération à la ligne officielle ». Je vous quitte avec une citation de Schewardnadse : La plus grande conquête de l’humanité, à savoir la libre expression de l’opinion, a toujours été aussi bien la source que la force de propulsion du progrès. |