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NE LE CROYEZ SURTOUT PAS
Auteur: BOUHOUCH (7:34 pm)
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                                LE GRAND RALLIEMENT A DROITE                   LE PEN APPELLE BAYROU AU TELEPHONE   LE PEN- Allo, Mr Bayrou ? Que deviens-tu bonhomme ? Cela fait un bon moment, qu’on a plus parlé de toi ?  BAYROU- De toi non plus…Nous sommes dans le même panier.  LE PEN   - Disons plutôt le même pétrin. Nos cotes ont terriblement chuté. Nous avons beau hurlé durant toute la campagne électorale présidentielle et employé tous les moyens sans résultat. Sarkozy a doublé tout le monde et s’est emparé de l’Elysée. Toi, avec toute la virulence de tes discours, Ségolène, avec ses excès de colère et moi avec toute ma véhémence…n’avons pas pu venir à bout de Sarkozy.  BAYROU- Comment tu expliques ce phénomène ?  LE PEN   - Il est trop malin. Il a su prendre et exploiter à son profit, tous mes thèmes relatifs à l’immigration et toutes tes idées sur l’ouverture, pour détourner une grande partie de nos adeptes Aux municipales nous n’avons pas su, comme la gauche, suffisamment exploiter les erreurs et faux pax de Sarkozy (Vacances de milliardaires, mariage avec Carla, entre autres), et c’est finalement la gauche qui a, le mieux profité de la situation. Non, pour te parler franchement, nous deux, nous sommes cuits.  BAYROU- Et, à ton avis, comment doit-on agir dans les mois à venir ?  LE PEN   - Je ne vois pas comment. Nous avons, toi et moi, perdu beaucoup de terrain, et nous n’avons plus que les yeux pour pleurer. Tu es abandonné par tes anciens amis de l’UDF et j’ai vu partir tous mes fidèles. A mon avis nous n’avons plus qu’une seule solution.  BAYROU- Laquelle ?  LE PEN   -Cela va te paraître étonnant de ma part, mais il me comprendre  BAYROU- Mais vas-y parle.  LE PEN   -Nous devons trouver un terrain d’entente avec Sarkozy.  BAYROU- Quoi ? Ah non ! Tout mais pas ça. C’est impossible ; quelle figure ferais-je auprès des quelques adeptes qui me restent ? Me rallier à Sarkozy, alors que j’avais annoncé, entre les deux tours, que je ne voterai aucunement pour lui, un gags que j’avais taxé de danger pour  LE PEN  -C’est ton affaire Mr Bayrou. Après réflexion et une longue discussion avec ma fille, j’ai décidé quant à moi, de me rapprocher de Sarkozy. Après tout, nous appartenons tous à la droite. Je suis peut-être un peu trop à droite de la droite et toi trop à gauche de cette même droite. Et la gauche ne veut pas de toi, et ce, nonobstant tes petits gestes trop complaisants à l’égard de Ségolène.  BAYROU- Comment dois-je alors m’y prendre ?  LE PEN   - La gauche cherche à se rassembler. Faisons de même, tout en gardant nos différences. Aves tes quatre voix à l’Assemblée, tu as tout intérêt à voter avec
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